Je ne vais pas me prononcer sur la dangerosité des gaz de schistes en France, je n'y connais rien et ceux qui disent s'y connaitre ne sont déjà pas d'accord entre eux.
Dans les pays ou des permis ont été attribués, les réticences commencent à être plus importantes que les acceptations. Après l'attrait de l'argent, les habitants des régions concernées voient maintenant le problème avec des yeux différents.
Nos cousins canadiens sont en train de faire machine arrière avec des études qui montrent que cette extraction aurait des conséquences sur la santé.
Ne faut il pas s'appuyer sur ce qui s'est passé ailleurs pour ne pas faire la même erreur ?
Photo Yan Doublet - Le Devoir |
Si, "normalement" c'est ce qu'il faudrait faire.
RépondreSupprimermais comme ON est les meilleurs que tout le monde
SupprimerBonjour Jacques. Ben !!! Quant il s'agit de fric, l'exemple de l'autre (surtout s'il est mauvais) est inutile puisqu'on pense toujours faire mieux. Bonne journée. Bisous. @+
RépondreSupprimerON ne s'exonère jamais
SupprimerPersonnellemet, je ne pense pas que ce soit bon. Mais, comme toi, je dois avouer que je n'y connais rien. Cependant, je suis pour ceux qui prônent le,principe de précaution. Et, en l'occurrence, les retours ne sont pas favorables. Alors, méfions-nous !
RépondreSupprimerMais faut il laisser aux autre le soin d'essuyer les plâtres ?
SupprimerLa je me défausse lâchement