C'est ce que l'on va lire sur les rézosocios fertilisés pas les engrais nauséabonds d'une droite droitiste digne du prochain président des Républicains, si le favori est élu avec l'aide des ses amis de sens commun.
"Il y a des cathophobes à Brest, ils s'en prennent aux symboles de la France blanche et catholique."
La ville de Brest met en vente une chapelle inutilisée avec une mise à prix de 55 100 € pour un terrain de 914 m² et un bâtiment de 260 m². C'est normal que cet édifice était voué à l'échec, il donnait sur la rue Robespierre, farouche opposant à la bondieuserie et coupeur de tête à ses heures perdues.
Après les chapelles et les églises, les antis calottes vont ils s'attaquer aux calvaires ?
La déchristianisation galopante actuelle et le manque d'argent de l'Eglise d'aujourd'hui font que ce genre de vente va se multiplier. ¨Près de chez moi, il y a une église ainsi désacralisée qui a été rachetée par un entrepreneur du bâtiment, qui s'en est, un moment servi, comme aire de stockage de matériel. Les traditions foutent le camps.
RépondreSupprimerA Montréal j'ai un ami qui avait racheté une vieille chapelle pour en faire une boite de nuit
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