Mon cher Florent
J'écris cher non pas dans le sens d'aimé mais dans celui d'onéreux, en français il faut faire attention à l'interprétation que les gens mal intentionnés peuvent faire des mots pour les détourner du sens que le rédacteur a voulu leurs donner.
C'est pour vous prévenir que le pays que vous comptez adopter, ou l'inverse, va d'ici très peu de temps, dans un an ou deux, appliquer les mêmes règles fiscales que la France (que vous avez l'air de détester).
Mais personne ne vous retient, votre fuite, telle celle de Louis XV1, ne nous fera ni chaud ni froid et encore moins tiède comme l'eau que vous n'avez certainement pas inventée.
Juste avant de partir, définitivement j'espère, n'oubliez surtout pas de rendre votre carte VITALE qui vous permettrait de revenir vous faire soigner à moindres frais votre petite carie, votre rhume, votre entorse des boyaux de la tête ou encore votre infection urinaire qui sont toutes des maladies nobles.
Il faut que je vous dise, après les rives ensoleillées du Douro et le bon gout du Porto, il vous restera la Corée du Nord, la Syrie, la Tchétchénie, le Venezuela, le Zimbabwe ou encore le Yémen.
Au plaisir de plus vous revoir et bon séjour au Portugal.
Excellent Jacques !
RépondreSupprimerMerci
SupprimerPlus ils en ont plus ils en veulent. J'avais un peu de sympathie pour le bonhomme. C'est râpé. Faudrait les taxer au maxi quand ils se produisent en France, tous ces artistes à la gomme qui ne viennent ici que pour pomper du fric. Mais, bon, on n'a pas le courage de leur faire mal ...
RépondreSupprimerMalheureusement nous faisons parti, dans ces circonstances, des yakafokon d'opérette
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