Non je déconne, je ne vend pas la carte de stationnement pour personnes handicapées, appelées également PMR, ou alors très cher, de l'ordre du million d'€uro à déposer sur mon compte numéroté aux Îles Caiman.
Le Télégramme du 29 Septembre 2017 propose un article (réservé aux abonnés) sur les transactions qui existeraient autour de ce sésame qui ouvrirait la clémence des autorités qui l'arboreraient bien ostensiblement derrière le pare-brise.
N'est pas à vendre |
Le Télégramme |
"En cas de carte douteuse, la police peut toujours verbaliser. La personne a 45 jours pour prouver sa bonne foi" précise la PMR qui a été interviewé par le journaliste du quotidien Breton.
S'il faut en arriver là, pourquoi pas, mais bonjour les lenteurs et tracasseries administratives pour les personnes honnêtes.
Des comportements qui ne peuvent que soulever le dégoût et le mépris. Florentin !
RépondreSupprimeret pourtant ce sont souvent des personnes propres sur elles qui utilisent ce procédé
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