Les éditeurs ne sont pas des fournisseurs de papier toilette

Les éditeurs français qui ont été contacté par la pseudo écrivain ont donné une fin de non recevoir à la demande.

Ils savaient très bien ou allait finir le bouquin même avec qu'il ait été lu.

De plus les libraires ne voulaient pas être obligé de faire des frais en achetant des produits désodorisants, "La merde parfumée à la rose, reste de la merde".

C'est un geste pour la planète qui devrait être salué par la France entière, combien d'arbres de sauvés dans la non édition de ce papier ?