La machine à voter de l'UMP a été victime d'une attaque sournoise avant le début des opérations qui débutent ce matin.
Une plainte, pas un gémissement, a été posée dans un commissariat de police tenu par des syndicalistes de chez Alliance.
Les premières investigations montrent que l'adresse IP qui a servi à pirater la machine est attribuée à un certain Paul Bismuth.
Il paraîtrait, mais cela reste à confirmer, que le nom des trois candidats au trône du mouvement est bien visible sur l'écran mais que seul celui qui commence par un S ne serait pris en compte.
M'étonnerait pas qu'il y ait là encore du bidouillage. Le S dont tu parles est capable de tout pour retrouver le pouvoir !
RépondreSupprimerLe S ne veut surtout pas dire Saint
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