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demande à celle qui te suit comment sont les tiennes"

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dimanche 19 octobre 2014

J'étais bourré, mais j'avais le droit

Le journal Libération nous éclaire sur quelques idées préconçues que nous pourrions avoir sur la chasse et ses conséquences.

La plus importante, à mes yeux, concerne l'état d'ébriété ou pas que le chasseur doit respecter. 

PEUT-ON TIRER IVRE AVEC UNE CAMÉRA SUR LE FUSIL ?

L’infraction de chasse en état d’ivresse n’existe pas. Ce qui veut dire que les agents de l’Etat assermentés pour faire respecter les règles de sécurité dans la nature n’ont pas les moyens juridiques de sanctionner les chasseurs saouls. C’est seulement en cas d’accident qu’un test d’alcoolémie est réalisé, et considéré comme une circonstance aggravante, s’il est positif.
Il en va de même pour cette pratique qui se développe depuis quelques années, consistant à fixer une caméra type GoPro sur son arme pour filmer une action de chasse. Ce n’est pas interdit, juste déconseillé. «Evidemment, un canon dirigé sur une personne pour la filmer… Cela ne va pas. Nous avons écrit noir sur blanc, dans nos bulletins d’information envoyés à nos adhérents, de ne pas se livrer à ce type d’exercices», indique Jacques Reder, de la fédération d’Ile-de-France. Qui se veut rassurant : «A notre connaissance, ce n’est pas une pratique qui se développe particulièrement. Pour l’instant, dans notre région, aucun accident de la sorte n’est à déplorer.»

2 commentaires:

  1. Il me semble que la maréchaussée a le droit d'interpeller tout individu en état d'ébriété, chaseur ou pas. Me trompè-je ?

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    1. Tu ne te trompè-je pas, mais la chasse est souvent effectuée sur des domaines privées et pas sur la voie publique

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Remarques bienvenues