Il était une fois dans un pays imaginaire, un suzerain, aimait il la Suze ?, qui ne voulait être diverti que par des farces qu'il comprenait et qui faisaient rires ses sujets qui eux ne comprenaient pas tout.
Des manants officiaient à divertir la populace avec des spectacles de troubadours et de ménestrels qui venaient de fort loin.
Mais hélas, tous ne caressaient pas le suzerain dans le sens du poil et cela lui déplaisait fortement. On ne rigole pas impunément sur le dos du suzerain, qu'on se le dise et que cela se sache.
Un jour, il prit la décision de bouter hors des murs (orbi en latin) ces manants qui invitaient les divertisseurs qui jouaient des saynètes qui ne mettaient pas en valeur le maître des lieux. En parlant d'une des personnes qui était venue sur les planches de son royaume, il précisa à l'adresse de celle qui l'avait invité :"Tu m'as imposé JK ce salopard qui m'a insulté".
Marri de ce qui se passait il décida que dorénavant ce serait lui qui inviterait les saltimbanques et il eut cette phrase mémorable :"Je l'drai d'chouaisir tchi queuje veux, c'est mè l'patron".
Ne vous en faites pas, il y aura toujours des amusailles dans le royaume du suzerain mais les amuseurs seront dans l'obligation de signer un parchemin sur lequel il sera stipulé qu'en aucun cas ils ne hérisseront les poils du suzerain sous peine d'être jeté dans un cul de basse fosse.
Toute ressemblance avec des faits anciens ou récents est tout à fait impossible et ne traduirait que de la mauvaise foi de la part de son auteur.
C'est comme d'habitude avec ce personnage, ce n'est pas son coup d'essai. Tout le monde au garde à vous et je ne veux voir qu'une tête.
RépondreSupprimerIl est quand même bon de se souvenir que le contrôle de la culture est très souvent la marque de fabrique de régime politique très très éloigné de la démocratie.
Ca me rappelle mon billet du 3 mai 2014
Supprimerhttp://jacques-ambroise.blogspot.fr/2014/05/loudeac-des-nouvelles-du-nouvel-omc.html