"J'ai sauvé ALSTOM".
L'article d'Eric Le Boucher du Monde retrace ce sauvetage à la Sarko. La vente des parts de l'état dans cette société à son copain Bouygues devait faire en sorte que l'on assiste à la naissance d'un géant.
Pourtant Martin n'a pas réussi, il a même participé à la descente aux enfers d'un "Fleuron" de l'industrie française. Le guignol élyséen de l'époque n'a mis qu'un cautère sur une jambe de bois alors qu'il fallait traiter une maladie beaucoup plus importante.
L'essentiel pour Sarkozy a toujours été dans l'apparence.
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