"Si tu affirmes que les fesses de la personne qui te précède sont sales
demande à celle qui te suit comment sont les tiennes"

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mercredi 29 janvier 2014

La damoiselle, la couturière et la peintureuse - 2

Il était une fois dans un petit royaume, un suzerain qui ne voulait pas se séparer d'une de ses damoiselles pourtant fort décriée par une partie de sa cour.

Tout le monde reconnaissait la damoiselle lorsqu'elle se promenait dans les rues, ses tenues flashies (le mot allait être inventé beaucoup plus tard) faisaient dire aux commerçants du fief du suzerain qu'elles avaient encore été achetées avec leurs impôts mais pas dans leurs échoppes et aux gueux en haillons qu'elle ressemblait à un bel épouvantail à étourneaux mais que les volatiles n'en étaient pas effrayées.

Elle était une très bonne chalande pour les couturières, la garde robe changeant à chaque saison bien que le royaume du suzerain ne bénéficiait pas de 4 saisons mais de 2, une mauvaise ou il pleuvait et une un peu moins mauvaise ou il pleuvait un peu moins.

Elle alla même jusqu'à transgresser les habitudes et obligations du royaume en portant les braies comme les damoiseaux au grand dam des mateurs (encore un mot qui viendra bien après) qui ne pouvaient loucher sur les chevilles de la damoiselle.


Il se disait que sa proximité du suzerain et du chef du suzerain faisait en sorte que sans les subsides qu'elle recevait pour des frais de représentation lors de tournois de joute, elle aurait été dans les mêmes hardes que tout le monde vu qu'elle n'était pas de noble naissance et que ses affaires n'avaient pas été florissantes.

La peintureuse sera pour une prochaine fois ............ si vous êtes toujours sages.

Toute ressemblance avec des faits anciens ou récents est tout à fait impossible et ne traduirait que de la mauvaise foi de la part de son auteur.

9 commentaires:

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