Une personnalité qui a crié pendant des années n'avoir rien fait de répréhensible mais qui a quand même été condamnée vient ou va demander la grâce présidentielle afin de ne pas effectuer sa peine de prison.
Il ne comprend pas l'acharnement judiciaire qui pèse sur lui alors qu'il a sorti son pays du marasme dans lequel il était plongé depuis longtemps.
Une chose me trouble quand même dans la démarche, demander une grâce présidentielle, c'est reconnaître à demi-mots les malversations dont on a été accusé, et accepter la grâce c'est ouvrir la porte à une jurisprudence pour les futurs délinquants.
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