Plusieurs aéroports grecs passent sous la houlette d'une société allemande suite à le privatisation imposée par Merkel et son ministre des finances.
Comme le village d'Astérix qui est resté inviolé par l'envahisseur romain, l'aéroport de Navarone ne sera pas bradé comme celui d'Athènes le fut.
Tant qu'ils ne nous mettent pas des névrotiques aux manettes des avions, ça va .
RépondreSupprimerje me méfie quand même
SupprimerL'Allemagne qui impose à la Grèce de privatiser et qui en profite ensuite pour acheter des aéroports hélènes, ce ne serait pas conflit d'intérêt, ça ?
RépondreSupprimersi, mais la kaiserette a décidé que c'était comme ça et pis c'est tout
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