La droite blogueuse, Pierre Parrillo, s'étonne qu'il n'y ait eut que le président de la république et son ministre des affaires étrangères pour accueillir l'otage française qui nous a quand même coûté la peau du ...
Pendant ce temps, le premier ministre, Manuello, se prélassait sur les plages qu'il avait privatisé pour ne pas être dérangé.
Heureusement que tu fais les heures de nuit quand je suis en vacances.
RépondreSupprimerFaut assurer la hot line
Supprimeril a fait son billet.
RépondreSupprimeroui je viens de le lire et je lui ai fait un comm du genre "même les ravisseurs ne respectent plus le timing qu'il veut"
Supprimer