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jeudi 2 octobre 2014

Fessenheim en a encore pour un bon petit bout de temps

Ce matin sur France Inter, Nicolas Hulot (qui n'a rien à voir avec Jacques Tati) parlait de l'arrêt pas toujours judicieux des centrales nucléaires, ce n'est peut être pas les plus vieilles qu'il faut arrêter d'abord, il faut mieux juger sur le mauvais vieillissement des installations.

Bon, n'étant pas jusque boutiste, je ne vais pas me lancer dans une analyse dans laquelle je ne pourrais défendre tel ou tel argument ou balayer tel ou tel autre.

Et puis quand la décision est prise d'arrêter une centrale, il lui reste encore de "beaux" jours à vivre, une bonne trentaine voire quarantaine d'années à vivre.

L'exemple de la seule centrale atomique bretonne est là pour corroborer cela. Brennilis a été arrêtée en 1985 et si tout va bien (doux euphémisme) il y en a encore pour au moins 4 ans.


C'est comme si tous les retraités étaient assurés d'avoir au moins une bonne trentaine d'année à profiter de la cessation d'activité.

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