Ce matin sur France Inter un usager de la SNCF se plaignait d'être pris en "otage" par les grévistes, il ne pouvait se rendre à son travail et traitait les cheminots de nantis et d'autre qualificatifs que je ne peux écrire ici, le mercredi étant le jour ou es enfants, mais pas que, lisent mon blog.
Je n'ai jamais entendu un "otage" dire du mal de ses "geôliers" par peur de représailles, tant que "l'otage" n'est pas libre il faut mieux se taire.
Je n'ai jamais vu un "otage" se promener librement sur les quais d'une gare en se foutant de la gueule des personnes qui l'empêche de vaquer à ses occupations.
Se posent ils la question, ces soi disant "otages", pourquoi leurs "ravisseurs" en sont arrivés à cette extrémité ?
Un petit mais douloureux exemple, Brétigny sur Orge, 7 morts et 61 blessés mais cet "otage" qui parlait ce matin sur les ondes de France Inter n'était certainement pas dans ce train.
Le Larousse donne la définition du mot otage :
Personne prise ou livrée comme garantie de l'exécution de certaines conventions militaires ou politiques : Laisser des otages à l'ennemi.
Personne dont on s'empare et qu'on utilise comme moyen de pression contre quelqu'un, un État, pour l'amener à céder à des exigences. (La loi punit la prise d'otage de la réclusion criminelle à temps ou à perpétuité.)
Le premier que je croise qui se dit otage de la SNCF, je l'envoie en vacances au Sahel
RépondreSupprimerentièrement raison
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