Chez nous en France, la fête des mères est le 25 mai, au Québec c'est le 11 mai, ne me demandez pas pourquoi cette différence, je n'en sait fichtrement rien et ça ne m'intéresse pas.
Cette publicité incitative pourrait elle être apposée sur les vitrines de chez Nicolas, Cavavin ou autres vendeurs de pinard.
« La raison principale de pourquoi elle boit » ? Quand on pense que ces andouilles prétendent être les gardiens de la langue française…
RépondreSupprimerLa langue oui, la grammaire non
SupprimerLa grammaire (plus exactement, ici, la syntaxe) me paraît difficilement dissociable de la langue…
SupprimerDe toute façon, avec leur parler gangrené d'anglicismes qu'ils ne voient même pas, les Québécois sont indéfendables sur ce chapitre.
ça c'est votre avis, la France est déjà amputée avec ses mots de franglais
SupprimerCe n'est pas mon avis, c'est la réalité, très facilement vérifiable, pour peu que l'on fréquente des Québécois et que l'on sache les écouter. Leur langue est littéralement truffée de mots anglais (trente fois plus que la nôtre au moins), qu'ils ne perçoivent même plus comme tels, sous prétexte d'en avoir vaguement francisé (ou plutôt québécisé) la prononciation. Plus grave, plus dommageable : c'est dans la structure même de la langue qu'ils ont abandonné les tournures et les constructions françaises au profit des anglaises ; là encore sans même s'en apercevoir.
SupprimerIls peuvent bien, après ce massacre, s'appliquer à dire "fin de semaine" au lieu de week-end, ou écrire "arrêt" à la place de stop sur leurs panneaux de signalisation routière, le mal, chez eux, est beaucoup plus profond.
Puisque vous le dites, cher maître, c'est cela doit être vrai, mais de là à les traiter d'andouilles, il y a un pas que je ne franchirai certaine pas
SupprimerC'est pour agacer mes deux belles-filles et mon beau-fils, qui sont Québécois…
SupprimerOu va se nicher le sadisme
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