Le 25 mars 2014, je commettais un billet dans lequel je n'ai pas été suffisamment complet voire précis ce qui m'a valu un courrier.
Comme la loi le précise, je suis dans l'obligation de le répercuter sur le même support afin que les gens, qui auraient pu être trompés dans un premier temps, prennent connaissance de ce droit de réponse.
Je vous livre donc in extenso les termes du courrier :
"Dans votre article du 25 mai 2014 intitulé "Loudéac: plus grande consultation médicale de groupe", vous n'avez cité qu'une des très nombreuses façons de dépister une prostatite, le toucher rectal.
La Commission Internationale des Urologues, dont je suis le président, tient à faire remarquer qu'il existe d'autres façons de diagnostiquer cette maladie, deux autres examens, entre autre, peuvent être pratiqués, par une prise de sang afin de connaitre le taux de PSA (Prostate Spécific Antigen) et l'échographie.
Je tenais à vous le préciser, certes votre billet n'était pas faux mais il était incomplet et nous connaissons bien, en tant que spécialistes, la pudeur des gens à se voir pratiquer la seule façon que vous avez évoqué.
Professeur Dugland
Président de la Commission Internationale des Urologues
Ancien élève des hopitaux d'Helvétie."
Ah! C'est du sérieux...
RépondreSupprimerde la prévention, il n'y a que ça de vrai
SupprimerTu as de sacrés lecteurs... ;-)
RépondreSupprimerJe le découvre
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